lundi 13 mars 2017

un autre sujet (ou peut-être deux)

L'adaptation à un milieu et à un mode de vie comparables finit par conférer à des espèces dépourvues de parenté (ou de parenté très éloignée) une ressemblance trompeuse. Ainsi en est-il du colibri et du moro-sphynx, de l’ichtyosaure et du dauphin, du ginkgo biloba et de n'importe quel autre arbre dit feuillu. On parle dans ce cas d'adaptation convergente.
Mais méfiez-vous : ça n'explique pas du tout la présence troublante d'un p, d'un i, d'un g et d'un n placés dans le même ordre dans les orthographes du pigeon et du pingouin.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire