samedi 12 décembre 2015

ma vie de libraire

Hier soir j'ai donc été le libraire d'un soir de la librairie Charybde, avant de parler de Pas Liev. Ma gageure : présenter au moins trois livres qui auraient pu échapper à ce gang de lecteurs prêts à tout (les libraires de Charybde). En tout cas ça a été l'occasion de rouvrir quelques très beaux coups de cœur, que je me permets de rappeler à votre mémoire (pour ça il suffit de cliquer sur les titres) :
- Doucement, de Gabriel Bergounioux, aux éditions Champ vallon,
- L'Ironie du sort, de Didier da Silva, aux éditions de l'Arbre vengeur,
- Le Parfum du jour est fraise, de Pascale Petit, aux éditions de l'Attente,
- La Botanique parallèle, de Leo Lionni, aux éditions des Grands champs,
- Les Saisons, de Maurice Pons, aux éditions Christian Bourgois,
- Le Château, de Franz Kafka.
Bon, les deux derniers, c'était aussi pour ménager une habile transition vers Pas Liev, puisqu'ils me permettaient d'inventer l'indispensable concept de roman-boîte-à-formes (entendez : histoire d'un personnage qui ne trouve pas sa place) où on va essayer de les faire rentrer tant bien que mal.

3 commentaires:

  1. J'ai fait l'expérience de certains pays où les gens ne savent pas forcément mettre les ronds dans les ronds et les carrés dans les carrés. Des régions sans école, sans moule pour apprendre cela. Votre illustration réveille en moi ce souvenir.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Il y a aussi des pays où les gens savent tellement bien mettre les formes dans les formes que parfois ils en deviennent liquides.

      Supprimer
    2. Je vois! Enfin, il me semble que je vois... la remontée à faire.

      Supprimer